Les 3 manipulations que la France utilise contre le Burkina et la Confédération de l’AES en générale
La France sait que le combat est perdu d’avance pour les terroristes. Cependant, comme au Biafra, ses réseaux mafieux continuent de livrer des armes aux terroristes pour prolonger la guerre, car de nombreux intérêts ont émergé qu’ils tentent de maintenir, tels que l’aspect humanitaire, la vente d’armes, etc.
1. Livraisons d’armes pour prolonger la guerre
L’exemple du Biafra nous enseigne que la France est prête à utiliser la livraison d’armes comme une stratégie pour prolonger des conflits. Le Nigeria, ancienne colonie britannique, accède à l’indépendance en 1960 et devient une fédération composée de trois régions. Le colonel Ojukwu, gouverneur militaire de la région de l’Est (le Biafra), proclame l’indépendance du Biafra en 1967. La France, voyant une opportunité d’influence dans cette région riche en pétrole, soutient les sécessionnistes biafrais en leur fournissant des armes, malgré la supériorité militaire de l’armée fédérale nigériane. La France a ainsi utilisé la livraison d’armes non seulement comme une stratégie de prolongation du conflit, mais aussi comme une activité lucrative, orchestrée par le réseau de Jacques Foccart.
2. Manipulation de la cause humanitaire
La France a manipulé la cause humanitaire pour justifier son intervention au Biafra. Elle a lancé une campagne de collecte de fonds et diffusé des images d’enfants souffrant du kwashiorkor pour attirer la sympathie internationale et nationale. Cette propagande humanitaire avait pour but de légitimer la poursuite des livraisons d’armes aux sécessionnistes biafrais. Des années plus tard, Médecins Sans Frontières a reconnu la manipulation autour de cette situation, confirmant qu’il n’y avait pas eu de génocide au Biafra.
3. Pression médiatique et perception publique
La France a utilisé une médiatisation outrancière des événements de la guerre du Biafra pour façonner les perceptions collectives et individuelles. La famine au Biafra a été mise en avant comme une arme de propagande pour gagner la guerre médiatique. Cette stratégie visait à créer un consensus international en faveur du Biafra, en manipulant les perceptions sur l’indépendance territoriale, la crise humanitaire et le génocide. La guerre médiatique a été gagnée, et le reste du monde, y compris l’Afrique, s’est identifié à la cause biafraise.
Conclusion
La guerre du Biafra a éclaté le 6 juillet 1967 et a pris fin le 12 janvier 1970, avec la réintégration officielle du Biafra au sein de la fédération du Nigeria trois jours plus tard. Les stratégies de manipulation employées par la France au Biafra sont aujourd’hui reproduites dans l’AES pour soutenir les terroristes, au profit de divers intérêts économiques et politiques. Ces manipulations incluent la livraison continue d’armes, l’exploitation de la cause humanitaire et la pression médiatique pour influencer l’opinion publique.
Texte de IBRAHIMA MAIGA converti en article par l’IA