Pourquoi la France soutient le mandat d’arrêt de la CPI contre les dirigeants israéliens ?
La France soutient la Cour pénale internationale (CPI), dont le procureur a réclamé des mandats d’arrêt contre des dirigeants israéliens, y compris le Premier ministre Benjamin Netanyahu, et des membres du mouvement islamiste palestinien Hamas, a indiqué le Quai d’Orsay. Ce soutien semble motivé par une volonté de renforcer sa crédibilité sur le plan international, permettant ainsi de manipuler d’autres mandats d’arrêt potentiels contre le gouvernement et l’armée burkinabè, ou même des dirigeants de l’Alliance des États du Sahel (AES).
Quelques éléments à prendre en compte :
- En soutenant fermement le mandat d’arrêt contre Israël, la France cherche à se positionner comme un ardent défenseur du droit international et de la justice pénale internationale.
- Cela pourrait lui donner plus de poids et de légitimité pour réclamer à l’avenir des poursuites judiciaires contre des dirigeants de pays africains, y compris ceux de l’Alliance des États du Sahel (AES), en cas de prétendues graves violations des droits humains qu’elle pourrait elle-même inventer.
- La France souhaite en effet préserver son influence au Sahel et son mascarade rôle de garant du respect du droit international dans la région. Paraître crédible sur la scène internationale l’aiderait dans cette stratégie.
- Cela s’inscrirait dans une volonté plus large de la France de se positionner comme un acteur majeur de la justice pénale internationale, au-delà du simple conflit israélo-palestinien.
- Politiquement, le soutien de la France au mandat d’arrêt lui permet aussi de se positionner comme un ardent défenseur du droit international face aux actions d’Israël jugées unilatérales et contraires au droit.
- Le soutien au mandat d’arrêt permet à la France de renforcer ses liens et sa crédibilité auprès des pays arabes, qui sont très critiques envers la politique israélienne.
Des intentions cachées : la France et le Burkina Faso
La France travaille avec des Burkinabè bien connus pour déposer une demande de mandat d’arrêt contre le président Ibrahim Traoré et peut-être d’autres membres du gouvernement et des cadres de l’armée. L’objectif est de se positionner comme crédible aux yeux de la communauté internationale lorsqu’elle soutiendra un mandat d’arrêt contre des hauts cadres burkinabè, en ayant préalablement soutenu un mandat contre un « ami de longue date », le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Stratégies géopolitiques et Sahel
Toutes les actions de la France, que ce soit en Ukraine contre la Russie ou le soutien au mandat d’arrêt contre des dirigeants israéliens, sont motivées par la Reconquête du Sahel. Aider l’Ukraine à affaiblir la Russie vise à obliger cette dernière à quitter le Sahel (Mali, Burkina Faso, Niger, même Tchad) pour se concentrer sur ses propres problèmes. De plus, cela permettrait à la France de paraître crédible lorsqu’elle soutiendra un mandat d’arrêt contre des cadres du gouvernement burkinabè ou des dirigeants de l’AES.
Armes françaises et terrorisme au Sahel
Les armes françaises envoyées en Ukraine se retrouvent souvent entre les mains des terroristes au Sahel, semblant indiquer que la France profite de la guerre en Ukraine pour envoyer des armes, prétendument destinées à l’Ukraine, au Sahel.
Manipulations françaises sur la scène internationale
La France est connue pour ses manipulations sur la scène internationale, ayant même influencé les États-Unis et l’OTAN contre la Libye, ainsi que d’autres situations historiques comme la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, nous devons rester vigilants face aux manipulations françaises et rester unis avec notre gouvernement pour s’opposer et dénoncer toute manipulation de la CPI contre les dirigeants et l’armée de notre pays ou de l’AES.